Embauché il y a 2 ans pour digitaliser les process, Alexandre Aubry raconte tous les changements que cela a induit : transformation de l'organisation, de l'infrastructure matérielle et réseau, ouverture et décommissionnement progressif de l'ERP Cobol...
Nous avons assisté à la conférence client de l'entreprise Orange à Agile en Seine. Cet article vous propose de découvrir comment l'IA Gen devient déjà un atout incontournable chez certains clients.
Un bon mix d'indicateurs - des KPI classiques ainsi que des KPI personnalisés - devrait vous aider, à condition de respecter un principe essentiel : faites simple !
Ceux qui voient le potentiel d'une nouvelle classe d'actifs numériques et l'acquièrent avant que le marché ne s'y intéresse en profiteront le plus à l'avenir.
La révolution numérique a commencé dans les années 90 avec la démocratisation de l'accès à Internet et plus particulièrement le déploiement du web. Cette révolution ne fait que commencer et durera encore plusieurs décennies.
La numérisation de la société et du matériel s'est accélérée dans les années 2000 avec l'arrivée de l'iPhone. C'est à cette époque que chacun a pris conscience que le smartphone pouvait être un livre, un disque, un appareil photo, une carte routière, un carnet d'adresses, un service postal, un fax, un jeu, un coach sportif, un portefeuille, une carte d'identité, une carte de crédit, un billet de train...
Enfin, tout est ou sera représenté de manière immatérielle dans le smartphone. À tel point que l'idée d'acheter un CD pour écouter de la musique ou un DVD pour regarder un film semble aujourd'hui ridicule. Et, bien sûr, de nombreuses personnes n'ont pas envoyé de lettre depuis plusieurs années.
La dématérialisation fait des actifs numériques une nouvelle opportunité d'investissement. Elle crée de nouvelles classes d'actifs. Pour ce faire, il faut les rendre uniques, alors qu'ils sont par définition duplicables. C'est l'objectif principal des NFT.
Mais cette dématérialisation de la valeur ne concerne pas seulement les biens de consommation. Elle touche aussi les entreprises elles-mêmes.
Une grande partie du capital des entreprises devient également immatériel. Il est constitué de compétences et de connaissances accumulées, mais aussi de ses processus, de sa réputation, de sa marque, de la fiabilité de ses systèmes d'information, de sa capacité à innover, de la qualité de ses relations avec ses clients et partenaires, ou encore du respect de ses engagements sociaux et environnementaux. Tous ces éléments contribuent à la création de la valeur de l'entreprise sur le long terme, ainsi qu'à sa valorisation.
Le plus emblématique de ces actifs numériques qui contribuent à la valeur d'une entreprise est sans aucun doute son nom de domaine. À tel point qu'il existe désormais un marché qui permet d'acheter et de vendre des noms de domaine. L'ampleur de ce phénomène peut être illustrée par le montant que Facebook a dû payer pour acheter "meta.com" : 60 millions de dollars. Qui pouvait imaginer que de tels montants puissent être investis pour avoir une simple adresse sur Internet ?
D'autres secteurs immatériels commencent à prendre de plus en plus d'importance : notoriété, influence, attention. Autant de nouveaux domaines qui, dans les années à venir, pourraient être au cœur de la valeur.
Embauché il y a 2 ans pour digitaliser les process, Alexandre Aubry raconte tous les changements que cela a induit : transformation de l'organisation, de l'infrastructure matérielle et réseau, ouverture et décommissionnement progressif de l'ERP Cobol...
L'industrie des services a connu d'énormes changements ces dernières années, en grande partie à cause d'un facteur qui affectent la plupart des autres industries : la technologie.
Une administration numérique efficace signifie des services numériques qui sont si simples et si pratiques que tous ceux qui peuvent les utiliser choisiront de le faire, tandis que ceux qui ne le peuvent pas ne sont pas exclus.