Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Le pilotage des coûts cloud est confronté à une difficulté persistante : l’hétérogénéité des données fournies par les cloud providers. Nom des métriques, logique de ventilation, latence des exports, structure des remises… Rien n’est véritablement aligné.
Connaissez-vous les scopes (ou catégories) d’émissions carbone ?
Il en existe 3 :
le premier scope, qui est qualifié de “direct” : il concerne les émissions liées à l’activité de l’entreprise ;
le deuxième scope, indirect : il concerne les énergies qui sont consommées par l’activité ;
enfin, le troisième scope, indirect lui aussi : il concerne toutes les émissions liées à l’amont (fabrication, transport, extraction des ressources) et à l’aval (recyclage...) de l’activité.
Le scope 3 n’est pas obligatoirement pris en compte dans le calcul des émissions. Pourtant, dans le numérique, 75% de l’impact est lié à la fabrication du matériel.
Ignorer la fabrication du matériel dans le numérique, c’est ignorer l’immense majorité de son impact. C’est détourner l’attention et les efforts d’une question essentielle - la durabilité du matériel numérique.
Cette question est abordée par Seifeddin (Cloud Engineering Manager SFEIR) et Celia (Développeuse fullstack également SFEIR) dans leur talk Green IT - mais c’est loin d’être la seule. Retrouvez ci-dessous le replay de leur intervention.
Le RGESN millésime 2024 est un bon point de départ pour revoir sa stratégie numérique durable et ses pratiques d’éco-conception. Avant de se faire rattraper par les exigences légales...
Entre l’efficacité énergétique du Cloud, qu’on n’atteindra jamais ‘on premises’, des serveurs mutualisés présentant un taux d’utilisation inégalé et les efforts des fournisseurs de Cloud pour s’alimenter en énergie bas carbone, on arrive à un écart gigantesque.