Avec sa mise à jour 2025, la FinOps Foundation fait tomber les cloisons : désormais, toutes (ou presque) les ressources IT — SaaS, datacenters, IA, cloud public — entrent dans le radar
Les discours sur l’avenir du travail oscillent souvent entre euphorie technologique et scénario catastrophe. D’un côté, l’IA nous promet un monde plus efficace, de l’autre, elle signe l’arrêt de mort de milliers d’emplois. Entre ces deux extrêmes, la réalité est évidemment plus complexe.
De l’entreprise qui propose seulement un modèle de langage sans même fournir une API jusqu’à celle qui propose tout en mode “one stop shop”, le choix des fournisseurs d’IA générative est vaste. Et cette année, tous les éditeurs de logiciels proposeront, s’ils ne l’ont déjà fait, de la GenAI au sein de leur produit. Un Product Manager GenAI devra savoir naviguer dans ce paysage complexe et expliquer les choix qui auront amené à la mise en place de telle ou telle solution.
Bien positionner les acteurs pour mieux les comparer
Il s’agira de trouver le bon équilibre entre l’indépendance et la flexibilité qu’apportent les plateformes internes (choix de ses LLM, personnalisation aux cas d’usage, intégration dans ses outils du quotidien…) et le côté “sur étagère” des éditeurs, qui libère des efforts de développement et de maintenance moyennant finances.
Le schéma ci-dessous fournit un canevas pour positionner les acteurs et mettre en évidence les zones de recouvrement mais aussi, le cas échéant, leur complémentarité.
Avec sa mise à jour 2025, la FinOps Foundation fait tomber les cloisons : désormais, toutes (ou presque) les ressources IT — SaaS, datacenters, IA, cloud public — entrent dans le radar
Les discours sur l’avenir du travail oscillent souvent entre euphorie technologique et scénario catastrophe. D’un côté, l’IA nous promet un monde plus efficace, de l’autre, elle signe l’arrêt de mort de milliers d’emplois. Entre ces deux extrêmes, la réalité est évidemment plus complexe.
Exiger des cas d’usage sans usage revient à inverser la logique naturelle d’adoption : ce n’est pas en décrétant où la GenAI sera utile qu’elle sera utilisée, mais en la rendant accessible à tous, pour qu’elle s’infiltre progressivement dans les pratiques et révèle son potentiel dans le temps.