Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Le pilotage des coûts cloud est confronté à une difficulté persistante : l’hétérogénéité des données fournies par les cloud providers. Nom des métriques, logique de ventilation, latence des exports, structure des remises… Rien n’est véritablement aligné.
"Avec le Cloud, on a vu émerger des ‘hyperscalers’ pour qui la culture de la mesure était présente dans leur ADN. Chaque brique, chaque unité d’œuvre, est mise à disposition pour architecturer leurs ambitions de services numériques, et mesurée quasiment en temps réel.
Il s’agit d’une véritable rupture dans le monde de l’IT d’entreprise. Car sans faire de généralité absolue, on constate souvent dans les entreprises une forme de ‘silotage’, avec des équipes de Run, voire de Build, aveugles sur l’usage des services numériques qu’ils délivrent, sans culture de la mesure ni responsabilité sur les coûts.
N’oublions pas, par ailleurs, que les technologies utilisées ne facilitent pas cette culture de la mesure. Dans le Cloud, il existe une liaison intime entre les ressources et le coût qu’elles engendrent. Cela me semble extrêmement vertueux.
Ce n’est pas dévalorisant de parler argent, au contraire. Diffuser cette culture de la mesure donne la possibilité à l’IT de sortir des ornières où elle s’est souvent mise toute seule et de mieux se faire comprendre par les métiers.
La pratique du FinOps permet de savoir exactement combien coûte un service numérique, selon une clé spécifique (le nombre d’utilisateurs, de traitements…) et donc d’attribuer un indicateur qui devient parlant pour les métiers et la direction. Avec le duo Cloud/FinOps, la conversation sur les coûts devient une décision sur la valeur.
Au-delà de l’aspect financier, le FinOps rejoint une autre dimension : la maîtrise de l’impact environnemental de son système d’information. Il faut arrêter de gaspiller et ne consommer que ce dont on a vraiment besoin. Rien ne vaut pour cela une infrastructure partagée et élastique.
Quand la culture FinOps se propage, que les équipes se prennent au jeu, elles optimisent leur code, leur environnement ; elles deviennent responsables de l’impact environnemental. Diffuser cette culture du FinOps, optimiser son architecture, son code, c’est un long voyage, itératif.
Mais dès lors que les financiers comprennent notre démarche, qu’on parle valeur avec le métier, on parvient à faire passer un message essentiel : plus on dépense dans le Cloud, mieux c’est, car cela veut dire tout simplement qu’on se modernise."
Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Cinq portraits, cinq voix. Non pour ériger des modèles, mais pour élargir notre regard sur la tech. Avec Women’s Vision, il s’agit moins de célébrer que d’écouter. Accueillir les voix discrètes, les chemins sinueux. Et reconnaître d’autres façons d’habiter la tech.
Le pilotage des coûts cloud est confronté à une difficulté persistante : l’hétérogénéité des données fournies par les cloud providers. Nom des métriques, logique de ventilation, latence des exports, structure des remises… Rien n’est véritablement aligné.
A l'heure du cloud omniprésent, du multicloud et du cloud hybride, il fallait revoir la manière dont le FinOps s'applique. Avec un mot d'ordre toutefois inchangé : le pilotage par la valeur.